Greg se réveilla et Julianne n’était pas là. Elle était partie, silencieusement, sans lui dire au revoir. Il regrettait de ne pas avoir pu la retenir, car il ne voulait pas qu’elle parte. Mais elle avait raison, il ne devait pas l’accompagner, leurs mondes étaient si opposés.
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L’annonce de l’action de Julianne déroutait Greg. Cela ne devait pas se passer comme cela. Julianne devait comprendre et faire ce qui avait été convenu. Mais Julianne était amoureuse et pas un soldat… Cela allait compliquer les affaires de Grégory, plus à l’aise avec les techniques militaires qu’amoureuses…
Il avait un nouveau plan : il devait aller voir Julianne et lui expliquer les choses. Un bon plan de bataille, mais pour cette fois, il négligea l’avantage du lieu.
Tout avait commencé dans un avion. Isabelle parlait avec son ami Greg et elle tentait de le convaincre de renouer avec son épouse. Mais ce gros béta ne comprenait rien. Pire, il avait compris qu’il devait couper définitivement les liens et lui ôter tout espoir de retour…
En fait cela avait été simple.
Elena et elle avait encore parlé, mais cette dernière avait compris ce qui était le mieux pour son amie lorsqu’elle l’avait revue.
Julianne s’était faite belle et regardait vers l’avenir. Et cela la rendait heureuse…
Elles étaient devenues meilleures amies et ce fut lors d’un match que Julianne s’ouvrit de son malaise à Elena.
Cela faisait quelques semaines que l’attaque de Los Angeles avait eu lieu et elle était presque rétablie de la blessure physique.
Emere avait été heureuse. C’était une période ou elle était enceinte. Elle s’apprêtait à avoir un bébé et elle était impatiente.
Greg faisait une pause. Il savourait un bon café pour faire le point. Tout avait été bien plus vite qu’il ne l’avait prévu.
Greg rentrait enfin « chez lui ». Il sourit à cette pensée car oui, maintenant il considérait cette maison comme son chez lui…Son sourire s’effaça.
L’homme marchait dans la foret. Il allait d’un bon train car il ne doutait pas que bientôt, des recherches allaient tenter de trouver des traces. Et des traces, il n’en laissait aucune. Ses ennemis allaient le croire mort, alors il allait faire le mort… Il devait cela à son amie.. Lire la suite
Il fallut plusieurs jours avant qu’un militaire ne vienne frapper à la porte de Mme Hough. il l’a surpris alors qu’elle portait un de ses enfants. Lorsqu’elle le vit, elle comprit. Elle avait imaginé cette scène. Elle serra l’enfant contre elle et les larmes jaillirent. *
James Bond 007 une saga 